Christina joue aux fléchettes dans un pub, en compagnie de Stuart et Betty. La traditionnelle cible est remplacée par une photo de Wilhelmina. La styliste écossaise ne se remet pas de ne plus pouvoir voir William.
Plus tard dans la soirée, Betty apprend par Hilda qu’Archie se présente comme Conseiller de quartier, et souhaite que Hilda soit à se côtés pendant la campagne. Archie leur explique aussi que les caméras vont venir chez les Suarez le lendemain. Hilda panique un peu, mais Betty lui propose de lui faire venir quelques tenues de chez Mode.
A Mode, Betty fait de son mieux pour couvrir l’absence de Christina, qui n’est pas venue retravailler depuis plusieurs jours. Cependant, ses collègues ne se sont aperçus de rien, tous préoccupés à préparer l’arrivée de Calvin Hartley. Lorsqu’il arrive dans les locaux, tous sont aux petits soins pour lui, mais lorsqu’il apprend que le petit William est présent, il tient absolument à voir le bébé. Wilhelmina, qui savait son goût pour les bébés, est enchantée de lui présenter son enfant, mais s’aperçoit que son fils a disparu.
Elle a tôt fait de désigner la coupable, Christina, qui venait tout juste de réapparaître. Cependant, la police conclue rapidement qu’il ne peut s’agir de la jeune femme, principalement grâce au témoignage de Betty. Cependant, la présence des forces de l’ordre, qui continuent d’enquêter, perturbe tout le monde, à commencer par Daniel, qui finit par demaner à M. Hartley de reporter la présentation du Magazine.
Betty fait de son mieux pour consoler Christina, montant avec elle dans la voiture lorsque la styliste quitte le bâtiment. C’est alors qu’elle s’aperçoit que le petit WIlliam est à l’arrière de la voiture de Christina, qui a donc bel et bien kidnappé le bébé. Christina explique à Betty que Wilhelmina a probablement falsifié les résultats ADN. Pour le lui prouver, elle lui montre une photo qui ressemble très fortement à William. Il s’agit en réalité d’une photo d’elle-même, au même âge. La ressemblance est effectivement frappante, mais Betty n’en fait pas moins remarquer qu’elles sont devenues des fugitives.
Les deux femmes trouvent refuge chez les Suarez, alors que les télévisions sont là, pour filmer Archie et Hilda. Betty appelle Claire, qui propose à Christina d’effectuer un nouveau test ADN. La conversation était cependant écoutée par Marc, qui prévient Wilhelmina. Christina et Stuart, ainsi que Betty, sont arrêtés devant le laboratoire. Claire et Daniel les rejoignent très vite, et Daniel fait libérer Marc, mais il ne peut rien pour Christina, ni pour Stuart.
A Mode, Wilhelmina avoue à Marc qu’elle a effectivement payé le laboratoire pour truquer les résultats. Marc, en toute connaissance de cause, a donc aidé sa chef, mais il semble vraiment pris de remords, et montre une tête réprobatrice à Wilhelmina, sans toutefois clairement l’affronter.
Chez les Suarez, Betty présente ses excuses à Hilda d’avoir mis en danger la campagne d’Archie. Betty va ensuite trouver Wilhelmina, et tente de lui faire croire qu’elle a un peu d’ADN de William sur elle, et qu’elle pourra ainsi prouver l’innocence de Christina. Elle offre alors à Wilhelmina la possibilité de minimiser l’affaire en annonçant elle-même la vérité, qui finira de toute manirèe par éclater. Wilhelmina ne s’en laisse cependant pas conter, et éconduit Betty.
Le jour suivant, Wilhelmina tient une conférence de presse et annonce que William est en fait le fils de Christina, indiquant que le premier résultat ADN était erroné. Wilhelmina tend le bébé à Betty, la chargeant de remettre William à Christina et Stuart. Christina annonce à son amie qu’elle retourne en Ecosse, et y lancera ses propres créations. Betty se sent triste, mais souhaite bonne chance à la nouvelle petite famille, désormais réunie.
Maintenant que la vérité a éclaté, les Meade comptent bien licencier Wilhelmina, mais Cal s’y oppose, et fait du maintien de Wilhelmina une condition sine qua none à sa signature. Son esprit conquérant et cynique contrebalancera ainsi la trop grande empathie des Meade. Daniel, ainsi piégé, n’a d’autre choix qu’accepter.